Une réglementation encadre le contenu de la notice des cabines UV qui sont présentes en institut aux quatre coins de la France. Mais les textes sont à ce jour encore trop rarement respectés, le grand public n'est donc pas suffisamment averti des risques qu'il encourt en s'exposant aux rayonnements de ce type d'appareil.
Par ailleurs, une enquête menée très récemment par 60 millions de consommateurs, le journal de l'institut national de la consommation, a démontré dans une certaine mesure qu’une partie non négligeable des professionnels cachaient les risques des rayons UV artificiels.
Plusieurs clientes mystères sont en effet allées dans des établissements en France proposant des séances de bronzage, et elles ont été nombreuses à ne pas être averties des dangers des rayonnements.
Certaines d'entre elles présentaient en outre un profil à risque : il y en avait quelques-unes qui disposaient d’un prototype de peau incompatible avec des séances d'UV artificiels, tandis que d'autres étaient enceintes de cinq mois ou plus et ne pouvaient fort logiquement être exposées sans risque aux rayonnements.
Le Syndicat National des Dermatologues n'a pas tardé à réclamer le lancement de campagnes de prévention afin de lutter contre les risques provoqués par les UV naturels ou artificiels, notamment en soulignant les “cancers cutanés” et les “mélanomes” qu'ils étaient susceptibles de provoquer.
En outre, cet organisme a fait part récemment dans un communiqué de presse de son souhait de voir instaurer des dispositifs mis en oeuvre comme au “Brésil ou plus récemment en Australie avec l'interdiction des UV artificiels.”
Je suis passionné des bons plans du web pour faire des économies.