Le conseil de l’Ordre des médecins se dit favorable au remboursement des objets connectés. Du moins ceux qui ont un bénéfice reconnus pour la santé et par les scientifiques.
La santé connectée est le sujet qui fait débat et qui stimule les foules. Depuis quelques mois, les bracelets, les tensiomètres, les pèses personnes, sont de plus en plus vendus et utilisés non pas par les technophile et les Geeks, mais également par les personnes en ayant besoin pour assurer leur santé. Ces objets connectés aux bienfaits thérapeutiques pourraient donc être remboursés d’ici peu.
Les premiers objets connectés pour la santé ont commencé à se vendre en 2013, en « petite » quantité, l’équivalent tout de même de 3 000 000 d’appareils pour un total de 64 millions de chiffres d’affaires, mais depuis quelques mois, ce sont plusieurs dizaines de millions qui se vendent en France.
A lire aussi : Objet Connecté : La bague connectée Ring
Les professionnels et les patients sont heureux de pouvoir utiliser ces outils connectés, mais il ne faut tout de même pas tomber dans la technologie à tout prix pour autant. Le CNOM (Conseil National de l’Ordre des Médecins) publie donc un Livre blanc pour améliorer les pratiques et encourager le développement d’appareils connectés véritablement utiles aux patients.
Le Conseil de l’Ordre insiste sur le fait que ces appareils connectés bénéfiques pour la santé doivent être expertisés par des scientifiques neutres, sans rapport avec une quelconque société ou autre. Le Comité demande à ce qu’un certains nombres de critères soient déposés pour que ces appareils soient déclarés conformes, ou non, au bénéfice pour la santé, sans oublier de mentionner le respect de la vie privée et la protection des données recueillies.
Le Conseil de l’Ordre va encore plus loin en expliquant que si ces objets sont bénéfiques pour la santé, qu’elle soit individuelle ou collective, il serait normal que la collectivité prenne en charge tout ou partie d’un remboursement.
Je suis passionné des bons plans du web pour faire des économies.