Les bracelets d’identification que l’on porte à l’hôpital, mais que l’on fait aussi porter aux nouveaux nés n’ont pas pour seul but d’éviter les échanges, comme les deux bébés échangés il y a vingt ans dont le procès débute en ce moment.
Les bracelets ont également pour but d’éviter les erreurs. Simples erreurs ou erreurs plus importantes, elles sont en grande partie évitées grâce à ce petit accessoire que tous les patients portent.
Les bracelets sont de couleurs, roses, bleues, ou blanches, fait de plastique résistant, ils ne peuvent pas s’arracher facilement, ni même volontairement à moins d’utiliser une paire de ciseau. Le bracelet pour les nouveaux nés est porté autour du poignet ou de la cheville, et d’une couleur permettant l’identification rapide. Les risques d’échanges sont ainsi minimisés au maximum, mais pas seulement.
Que ce soit pour les nouveaux nés ou tout autre patient, ils permettent de s’assurer que le patient reçoit les bons soins, que ce n’est pas une autre personne qui va être opérée, qui va recevoir tel soin, ou tel traitement médical. De plus en plus souvent, le port de se bracelet est présent dans les résidences pour personnes âgées, qu’elles souffrent ou non de maladies du cerveau.
Il n’y a actuellement pas de loi concernant le port du bracelet d’identification, acte que l’on appelle l’identitovigilance. Il s’agit d’une norme et d’une pratique afin d’assurer la sécurité des soins et aussi éviter les échanges de nouveaux nés. L’dentitovigilance ne date pas de maintenant, elle existe depuis de nombreuses années, mais en 2010, une étude menée dans différents hôpitaux, ainsi que dans un service pédiatrique de Lorraine a montré que 40% des patients, de tout âge, ne portaient pas de bracelets d’identification.
En 2014, les bracelets sont présents quasiment tout le temps, mais il reste tout de même quelques exceptions.
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