Lors de sa première mise à jour datant d’hier, le Freebox mini 4K arrive avec son lot d’enseignements. 5 aspects qui permettent de dire que cette box, comme sa précédente a été lancé un peu prématurément.
Les premiers bug rencontrés par les freenautes sont disponibles sur la plateforme bugtracker mise en place par le FAI afin de les résoudre.
Ce qui change dans ces bugs et mises à jour, c’est le mariage avec la plateforme Android TV. En ayant choisi d’adopter cette plateforme, Free ne peut plus se permettre de faire ce qu’il veut quand il veut, il doit composer avec Android TV et donc, le processus de maintenance n’est pas ce à quoi sont habitués.
En donnant les « clés » à Google et en réussissant cette première mise à jour, Free tire un enseignement en 5 points.
1- Le système de la box étant constitué de différents logiciels, il ne pas y avoir une mise à jour firmware globale. Ces logiciels sont entre autres, la Freebox Zen à la base, les Services Freebox et les Freebox Daemons.
2- Le Player peut être mis à jour sans redémarrage de la Freebox
3- Quand une mise à jour est prévue, les freenautes sont prévenus et peuvent forcer la mise à jour de suite sans attendre la prochaine coupure secteur (volontaire ou non)
4- Free peut le cas échéant se décharger de sa responsabilité et rediriger vers Google, que ce soit pour un dysfonctionnement ou pour une demande de fonctionnalité. Par exemple le support du NTFS fait partie de cette redirection.
5- Les différentes mises à jour de la Freebox mini 4K ne sont pas renseignées comme pour les Freebox V5 et V6. Il faudra que le freenautes se documente à travers le bugtracker pour voir quelles sont les avancées et quels sont les bugs non résolus.
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